Au vu de l'analyse consciente de la déroute financière de diverses entreprises africaines opérant sur le territoire européen...il
est vital aujourd'hui pour la trésorerie globale des Etats Africains de récupérer et de monopoliser toutes les officines commerciales
d'origine africaine qui exercent à l'étranger.
Trop de mauvaises gestions de complaisance,où l'on enrichit l'étranger
en étant gestionnaire perdant à la base mais souriant pourtant avec un bon visage d'Uncle Tom...Trop de laisser-aller dans
la tenue des comptes qui, lorsque bien tenus , renseignent sur l'état de notre balance monétaire dépenses-recettes...
Trop de gestes de panache pour tenter de garder la tête haute lorsque le contentieux est pesant ...où l'on s'enfonce encore
plus dans l'endettement... où l'on ne réfléchit pas sur les conséquences futures d'une faillite à l'étranger sur l'économie
locale au pays.
Alors pour combler sa trésorerie on exporte en grande quantité en sous-payant honteusement
la marchandise à l'achat et ce sont les travailleurs au pays qui sont encore une fois les victimes ...ce sont eux qui font
les frais de toutes ces officines bancales à l'étranger.
Lorsque l'on observe certaines boutiques africaines à l'étranger
et que l'on voit le peu de circulation d'acheteurs journaliers, on est en droit de se demander si les loyers à payer pour
tous ces commerces sont couverts par les recettes générales .Bien sur il faudrait faire une assemblée générale de tous les
gestionnaires africains ...afin de faire le bilan...de savoir si il est utile de continuer à vendre à perte ou à stocker en
Europe des marchandises qui ne se vendent pas mais qui nécessitent la location de locaux de stockage et maints frais inhérents
à la tentative de commercialisation de ces marchandises.
Mais si telle assemblée générale était annoncée, combien
de nos frères et soeurs gestionnaires seraient assez courageux pour étaler la vérité des comptes commerciaux aux yeux
du peuple africain.
LA VISION DE MON DIEU ... DAMBALA EST SON SAINT NOM ...
PRECONISE CECI...:
QUE
DESORMAIS IL EST INUTILE D'EXPORTER DE L'ARTISANAT EN EUROPE . SONT ACTUELLEMENT PAYES DES FRAIS DE TRANSPORT,DE STOCKAGE
,DE MAIN-D'OEUVRE ET DE LOCATION DE BOUTIQUES QUI VONT EN MAJEURE PARTIE DANS LES CAISSES DE L'ETRANGER.
SI
L'ETRANGER VEUT FAIRE COMMERCE DE NOS VALEURS ARTISANALES ALORS QU'IL VIENNE SUR NOTRE TERRITOIRE, QU'IL ACHETE CES MARCHANDISES
AU PRIX INDIQUE ET QU'IL LES EXPORTE PAR LES TRANSITAIRES DE SON CHOIX VERS SES PROPRES BOUTIQUES DE DISTRIBUTION ARTISANALE.
AINSI
LE PRODUIT DE LA VENTE DE CES MARCHANDISES SERA DISTRIBUE SANS PERTE A CEUX QUI EN SONT LES LEGITIMES USUFRUITIERS.
MAINTENANT
QUE SONT ELIMINEES LES MULTIPLES RISQUES D'HYPOTHEQUES ET SAISIES DE L'ETAT FRANCAIS SUR LES TERRES AFRICAINES, SUITE LEGISTE
INEVITABLE DES FAILLITES DE NOS COMMERCES EN EUROPE.....NOUS POUVONS ALORS METTRE SUR PIED UNE NOUVELLE STRATEGIE DE
VENTE ET DE COMMERCE GRACE A LAQUELLE NOUS PROSPERERONS .
CETTE STRATEGIE TIENT COMPTE DU POTENTIEL IMPORTANT DE
RASSEMBLEMENT QUE REPRESENTE UN SPECTACLE DE MUSICIENS SUR SCENE.
ET POUR QUE LA VENTE SOIT EVENEMENT, IL FAUT QUE
LA VENUE DE CES MUSICIENS SUR LE SOL ETRANGER SOIT ELABOREE AVEC MAJESTE.
Ce qui veut dire que les services de sécurité
auront tracé le chemin préalable à leur venue....Que la comptabilité de l'opération évènementielle sera légiste ...ET QUE
CHAQUE SPECTACLE SOIT POUR LE SPECTATEUR UNE INVITATION A LA DECOUVERTE DE L'AFRIQUE ET DE L'HISTOIRE DES PEUPLES QUI Y ONT
MARCHE.
1001 ARTICLES SERONT PROPOSES A LA VENTE AU COURS DE CHAQUE SPECTACLE. CE QUI AUGMENTERA LEUR VALEUR
PUISQU'ILS SERONT NUMEROTES PAR UNE ESTAMPILLE DES CREATEURS D'ART AFRICAIN .
ALORS LES RECETTES SERONT .
Jean-Claude Patrice Baltimore
Scribe Opérateur
ISHIRINI
NA KENDA SHOW BUSINESS MEAN AND BOSS ENTERPRISE
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